Dans Jean 10:30, nous lisons cette déclaration de Jésus:
Moi et le Père nous sommes un. Jean 10:30
Que voulait dire Jésus par là?
Nous n’avons pas à spéculer sur ce que Jésus a voulu dire dans Jean 10:30 quand il a dit que lui et son Père sont un, parce que les paroles du Christ, plus loin dans Jean, révèlent exactement ce qu’il voulait dire.Christ voulait dire un dans l’unité, comme il a prié que ses disciples soient un de la même manière que lui et son Père sont un. Cette prière ne contemplait pas un disciple à douze têtes, mais douze disciples qui travailleraient ensemble dans l’unité.
Dans sa prière, il a dit:
» je leur ai donné la gloire que tu m’as donnée, afin qu’ils soient un, comme nous sommes UN. » Jean 17:22 OST
Et il continua, disant:
« Père saint, garde en ton nom ceux que tu m’as donnés, afin qu’ils soient UN, COMME NOUS SOMMES. » Jean 17:11 OST
Voilà ce que dit Ellen White:
« Le Christ a prié que ses disciples soient un comme lui et le Père étaient un. » (Ellen G. White, Review and Herald, 29 mai 1888)
Puisque la doctrine de la Trinité enseigne 3 êtres co-égaux, alors selon cette doctrine, Jean 10:30 aurait dû dire: « Moi et mon Père et le Saint-Esprit sont un ». Mais ce n’est pas le cas.
« IL [CHRIST] N’ÉTAIT PAS LE PÈRE, mais en lui habitait toute la plénitude de la Divinité » (Ellen G. White, Lettre 8a, 7 juillet 1890)
« L’unité qui existe entre le Christ et ses disciples ne détruit la personnalité d’aucun d’eux. Ils sont un en but, en esprit, en caractère,mais non en personne. C’est ainsi que Dieu et le Christ sont un… » (Ellen G. White, Témoignages pour l’Eglise, p.1904)
Nous aurons à affronter des enseignements erronés — A bien des reprises, il nous faudra affronter l’autorité d’hommes qui étudient des sciences d’origine diabolique, par lesquelles Satan agit pour nier Dieu et le Christ. Le Père et le Fils ont chacun leur personnalité. Jésus a dit: “Moi et le Père nous sommes un” Jean 10:30. Cependant, c’est le Fils de Dieu qui est venu dans le monde sous forme humaine. Abandonnant robe et couronne royale, il a revêtu sa divinité d’humanité, afin que par son sacrifice infini le genre humain puisse devenir participant de la nature divine et qu’il échappe à la corruption qui règne dans le monde par la convoitise. — Testimonies for the Church 9:68 (Publ. 1909).