Aubourg Micail
Dans messages choisis vol. 1, p.240-241, la messagère du Seigneur nous dit ceci:
« Une lumière était accordée pour nous aider à comprendre les Écritures touchant le Christ, sa mission et son sacerdoce. » (Ellen White)
D’après, Ellen White, l’enseignement de nos pionniers sur Jésus-Christ fut donné et confirmé par l’Esprit du Seigneur. Elle l’appelle « une lumière« . Selon elle, c’était « une ligne de vérité partant de ce temps-là (de 1844) pour aboutir au moment ou nous entrerons dans la cité de Dieu…« . C’était ainsi que les fondements de notre foi furent fermement posés par
- l’étude de la Parole de Dieu accompagnée de prières,
- la recherche de la vérité,
- et la révélation de l’Esprit.
Aujourd’hui, la révélation de l’Esprit a été mise de côté. On nous dit ouvertement que l’enseignement sur Jésus-Christ dans notre église a été changé.
« Aujourd’hui, certains Adventistes pensent que nos croyances sont restées inchangées au fil des années, ou alors, ils essayent de faire reculer les aiguilles de l’horloge au moment où tout était juste comme il faut. Mais toutes les tentatives de retrouver un tel « Adventisme historique » échouent lorsque l’on considère les faits de notre héritage.
Les croyances Adventistes ont changé au cours des années sous l’impact de la « vérité présente ». Le plus effrayant est l’enseignement concernant Jésus-Christ, notre Sauveur et Seigneur…
De même, la compréhension Trinitaire de Dieu, à présent comprise dans nos croyances fondamentales, n’était généralement pas celle des premiers Adventistes. Même aujourd’hui, il en est quelques-uns qui n’y adhèrent pas. » (William G. Johnson, Adventist Review, 6 janvier 1994, p. 10, 11)
Mais, aujourd’hui cette lumière est appelé « fausse doctrine », par certains hommes dirigeants.
“ Seulement graduellement que cette fausse doctrine a laissé sa place à la vérité biblique, et grandement sur l’impact des écrits d’Ellen White dans les citations tel que “en Christ était la vie, original, non emprunté, et non dérivé. (Desire of Ages p.530)” (William G. Johnson, Adventist Review, 6 janvier 1994, p. 10, 11)
Cela signifie-t-il que la lumière que l’Esprit du Seigneur avait donnée n’était pas réellement une lumière, mais de préférence, une erreur? Sommes-nous prêts à accuser l’Esprit du Seigneur à tromper nos pionniers et la messagère du Seigneur elle-même? Sr White nous a-t-elle menti et menti à nos pionniers concernant la lumière qu’elle avait reçue?
Ou allons-nous avouer que ce changement graduel est, de préférence, une fausse doctrine?
Laissons l’Inspiration nous aidé à répondre à ces questions:
« Ce qui était vrai au début l’est encore maintenant. Bien que des vérités nouvelles et appropriées pour les générations successives se soient ouvertes à notre entendement, les révélations présentes ne contredisent pas celles du passé. Chaque nouvelle vérité comprise ne fait qu’approfondir l’ancienne. » (E. G. White, Review & Herald, 2 mars 1886)
Comment est-ce que le nouvel enseignement sur Jésus-Christ de notre église aujourd’hui soit « une nouvelle lumière » si celle-ci contredit la lumière du passé? Ce nouvel enseignement veut détruire le fondement de notre foi et annulé la révélation de l’Esprit.
Comment pourrait-on dire que « ce qui était vrai au début l’est encore maintenant », si on qualifie l’enseignement de nos pionniers touchant Jésus-Christ, comme une fausse doctrine?
N’est-ce pas là insulté l’Esprit du Seigneur qui les a conduit et instruit?
Le témoignage de qui, allons-nous croire? Celle de la messagère du Seigneur, sous l’influence de l’Esprit, ou des hommes?
À chacun de se décider!
Toutefois, sachez que votre réponse déterminera si vous croyez réellement dans les témoignages de l’Esprit ou pas!